Le projet
déjà en cours de réalisation
Le projet : une aventure ultime 100 % humaine, sportive et écologique à travers le monde, par-delà les caps
POURQUOI CE PROJET ?
Je m’appelle Yann Busnel, breton et véritable « couteau suisse » de l’aventure.
Depuis tout jeune, j’ai toujours été captivé par les grandes expéditions humaines, les migrations qui ont marqué l’histoire, et la manière dont les hommes ont su s’adapter à des environnements extrêmes. J’ai ressenti l’envie irrésistible de marcher sur leurs traces.
Mais avant de vivre mes rêves, il y a eu quelques étapes !
Ancien militaire ayant servi 12 ans dans les forces spéciales de l’armée française, j’ai acquis des compétences avancées en survie, gestion de crise, et opérations en milieu hostile. Je suis passionné par les sports extrêmes, la randonnée au long cours et le bushcraft. Enfin, talentueux en dessin, j’ai fait une année aux Beaux-Arts à Lorient. Quand je disais « couteau suisse » 🙂 ….
La préparation technique et logistique, l’étude des cartes, ainsi que la préparation du matériel, ont nécessité plus de 10 ans de travail en parallèle de ma carrière. Le tout avec une équipe de choc : ma famille, mes ami.es, mes entreprises partenaires !
PRÉSENTATION DU PROJET
Il s’agit d’une aventure de grande envergure 100 % sportive, humaine et écologique par l’itinéraire terrestre le plus long du monde, s’étendant sur plus de 50 000 km.
Objectifs multiples.
1 ) Devenir la première personne à réaliser cet itinéraire, périple monumental vise à relier le point le plus au sud d’Afrique (le cap des Aiguilles) au point le plus au sud d’Amérique (le cap Horn), en passant par le détroit de Béring. Soit l’itinéraire le plus long du monde entre deux points, en ne suivant que la terre (ou du moins ce qui l’était il y a quelques milliers d’années). Il s’agit de suivre les traces des grandes migrations humaines à travers le monde.
A ce jour, j’ai parcouru l’Afrique et le Machrek, soit 12.500 km.
2) Rencontrer et apprendre des peuples et communautés résilients. Cette aventure, c’est bien plus qu’un voyage, c’est une exploration des limites humaines et de notre capacité à nous adapter à un environnement en forte mutation. C’est aussi un hommage aux communautés qui vivent avec résilience face à des conditions extrêmes. Je souhaite apprendre des communautés que je rencontrerai au cours de mon voyage, notamment celles qui s’adaptent aux climats extrêmes et aux changements climatiques rapides.
Mon objectif est de vous faire partager leurs modes de vie, leurs techniques de survie et d’adaptation.
3) Un défi sportif unique, une aventure dans le temps, 4 années à pédaler, pagayer, skier, marcher à coté de mon dromadaire, ou encore suivre les traces des plus grands explorateurs de l’histoire au travers de notre planète. Mon approche sobre du voyage, proche des limites de la survie physique et morale, me permet d’être en résonance avec les humains modestes rencontrés sur le chemin. Je n’utiliserai aucun vecteur polluant durant toute l’expédition pour avancer sur l’itinéraire.
4) Mon objectif ultime : échanger et partager. Se dépasser, avoir des émotions qui sortent de l’ordinaire, en rencontrant des peuples et tribus qui font face aux changements climatiques rapides ou à des climats extrêmes et s’y adaptent, en voyant des paysages incroyables, en vivant son odyssée avec des compagnons spéciaux comme Rouhoul, le vaisseau du désert… et vous les partager !
Le partage virtuel sur les réseaux sociaux, mais aussi le partage dans le monde réel, si vous le souhaitez sur des petites étapes. Ainsi ensemble, nous pourrons nous évader dans cet immense monde que nous ne connaissons pas si bien que ça. L’expédition est filmée en caméra 360º, ce qui permettra de réaliser par la suite de magnifiques films et chaque jour j’écris dans mon livre de bord, dessins à l’appui, pour immortaliser mes aventures et rencontres les plus importantes de chaque journée de ce périple incroyable.
Suivez-moi, venez m’accompagner, soutenez moi dans ce défi sportif extrême où lutter contre la solitude sera tout autant important que de remplir chaque journée à marcher, avancer, trouver de l’eau et de la nourriture, ou encore soigner les blessures et articulations sur l’itinéraire « par delà les caps »